Restauration de la Pointe de Moisie

La pointe de Moisie présente des caractéristiques biologiques, géologiques et historiques exceptionnelles.

 

Quelques 175 espèces d’oiseaux y ont été observées, dont certaines à statut précaire. Ses plages abritent de précieuses frayères à capelan. Le site est riche d’un patrimoine culturel unique : lieu de rassemblement innu, ancienne forge, village de pêcheurs et base militaire s’y sont succédés. Toutefois, une forte occupation illégale exercée jusqu’en 2012 et la circulation de véhicules hors route ont contribué à la détérioration des lieux.

 

Dans le cadre du projet " Préservons la pointe de Moisie ", les activités déployées entre 2016 et 2018 ont permis la plantation et la transplantation de plus de 100 000 végétaux, la pose d’une vingtaine de panneaux de sensibilisation et de signalisation bilingue (français et innu), le balisage d’un circuit de sentiers, des animations auprès de 400 élèves et l’implication d’une centaine de bénévoles! Au total, c’est une superficie de 8000 m2 de littoral qui a été restaurée par les activités de plantation et une superficie de 56 000 m2 d’habitats où des initiatives de restauration ont été mises en œuvre.

 

Pour plus de détails, consultez l'article La pointe de Moisie, restaurée pour mieux résister.

 

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Échéancier

2016 – 2018

 

Bailleurs de fonds

Fondation Hydro-Québec pour l’environnement, le gouvernement du Canada agissant par l’entremise du ministère fédéral de l’Environnement et du Changement climatique, la Fondation de la faune du Québec, la MRC de Sept-Rivières, la Ville de Sept-Îles, Mountain Equipment Co-op et l’Aluminerie Alouette.

 

Partenaires

Innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam, Comité ZIP Côte-Nord du Golfe, Musée régional de la Côte-Nord.

 

Bénévoles et autres participants

SADC Côte-Nord, Groupe scout de Sept-Îles, Centre amitié autochtone et 298 élèves du primaire.